A partir du moment où on « lâche » un album dans la nature, on accepte que chacun en fasse ce qu’il veut. Il l’aime ou pas, il interprète telle chanson comme ça ou comme ça…
Tout nous échappe, et c’est très bien ainsi.
Parfois, en lisant une chronique, on réalise que l’album a été perçu comme on l’avait conçu. C’est surprenant, mais ça fait du bien !
C’est le cas de cette chronique de Pierre Loosdregt.
Merci Pierre !